Le pistage mobile des populations, au nom de la lutte contre le coronavirus, présente des risques sur les libertés fondamentales en général et sur les données personnelles et la vie privée en particulier. De plus, l’efficacité d’une telle pratique technologique reste contestée et controversée.
Par Christophe Chadaillac, avocat, et Héloise Tientcheu, juriste, cabinet Jones Day