En fait. Le 26 septembre, l’Irep et France Pub ont présenté les recettes du
marché français de la publicité sur le premier semestre 2014 : 5,6 milliards d’euros (- 2,6 %), dont 1,2 milliard pour l’e-pub (+ 5% pour le search, – 1,2 %
le display web et + 60 % le display mobile). L’année s’annonce encore en baisse.
En clair. Les recettes publicitaires des cinq médias historiques – annuaires, Internet display, mobile, courrier publicitaire et imprimés sans adresse – que mesure l’Institut de recherches et d’études publicitaires (Irep) sont complétés par les chiffres des recettes du search sur Internet provenant de l’Observatoire de l’e-pub du Syndicat des régies Internet (SRI). Après un premier semestre 2014 en recul de – 2,6 %, l’année complète s’annonce en baisse de près de -2 % (voir tableau ci-contre), contre -3,6 % l’an dernier (1). « L’environnement économique devrait rester très morose jusqu’à la fin de l’année. Les entreprises ne sont pas enclines à investir », souligne l’Irep et France Pub pour établir leur prévision de « baisse modérée des investissement » sur 2014. Internet, qui évitera encore au marché global de s’effondrer, restera le média le plus dynamique – grâce à une croissance à deux chiffres de la pub sur mobiles (2) et malgré la baisse les bannières (display hors mobile). Les chiffres de Kantar Media sur le display Internet montre aussi une baisse de la « pression publicitaire » . @